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Pour une archéologie du cabotage lointain en Europe au milieu du XVIIIe siècle : l’exemple de la Jeanne-Elisabeth

Résumé de la thèse

La Jeanne-Elisabeth est un brick de commerce suédois, perdu sur les côtes du Languedoc en novembre 1755. Site archéologique d’abord connu par les archives mentionnant un important transport de fond depuis Cadix jusqu’à Marseille, il est largement pillé entre 2006 et 2007. Suite à une enquête et des saisies chez les pilleurs, 11 années d’opérations archéologiques sont menées par le service du ministère de la Culture en charge de la protection et l’étude des biens culturels maritime, le département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines. Parallèlement aux campagnes de terrain, des recherches en archives réalisées dans les fonds français, suisse et suédois. L’ensemble de ces données permettent d’illustrer par le dialogue des disciplines historique et archéologique, un exemple remarquable du grand cabotage européen au milieu du XVIIIe siècle.

Début de la thèse

2019-11-01

Etablissement

Université Le Havre Normandie

Axes associés

Axe 3. Recompositions territoriales, Réseaux, Espaces Maritimes